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Syndrome du dimanche soir : Je croyais que c’était normal…

  • Photo du rédacteur: Audrey Payrau
    Audrey Payrau
  • il y a 2 jours
  • 12 min de lecture
Une femme assise sur un canapé, prostrée, la tête dans la main.

Le syndrome du dimanche soir, c’est quoi ? Vous savez, c’est l’angoisse qui monte quand la fin du week-end approche et qu’on sait qu’il va falloir reprendre le chemin du travail le lendemain. 😥 Un phénomène courant qui touche beaucoup de Français, peu importe le statut ou le métier, mais trop rarement abordé encore.


Ça vous parle ?


Un mélange de cafard, de mal-être, de stress, de saturation et de déprime que l'on se traine car on pense que c’est normal 😔


Et ça, c’est exactement ce que je vivais.


Je ne saurais même pas dire quand ça a commencé. C’est arrivé doucement, je crois. Et un jour, c’était installé. Tous les dimanches soirs, exactement de la même façon, avec plus ou moins la même intensité. Bref : grosse baisse de motivation.


Et à un moment, j’ai décidé de l’écouter, ce "blues".


Je vous propose de vous raconter ce que j’ai vécu concrètement, ce que je refusais de voir et ce que j’ai changé depuis. En essayant de faire preuve de vulnérabilité dans cet article de partage d’expérience personnelle.


On y va ? 👇



"J'aime pas le dimanche soir" (mais je ne savais pas trop pourquoi)


Cette angoisse du dimanche soir, ce n’était pas vraiment de la fatigue. Car niveau forme physique, ça allait. Et puis j’ai toujours eu la chance de bien dormir. Et ce n’était pas vraiment de la tristesse, je n’étais pas en larmes tous les dimanches soirs. Non. Mais c’était comme une lourdeur que je me trimballais. C’était à la fois flou, et à la fois bien présent.


Je me sentais lasse et vide. Je me traînais. Gros coup de mou et le moral dans les chaussettes. 😣


Quand je ne prévoyais rien de particulier et que je restais chez moi, par exemple, l’idée même de passer l’aspirateur me demandait une énergie folle. Alors, j'enchainais des séries. Je scrollais sur Facebook. Je grignotais. Je somnolais.


De vrais comportements d’évitement…


Mais je finissais toujours par ouvrir mes mails pro ✉️, dans l'après-midi, en mode « allons voir à quelle sauce je vais être manger à mon retour lundi matin ». C’est comme si j’avais besoin d’étaler le stress et les problèmes pour ne pas tout ramasser en attaquant ma nouvelle semaine. Mes pensées tournaient en boucle sur ce que j'allais devoir gérer les prochains jours.


Je regardais aussi mon agenda 📆pour anticiper les rdv pénibles où je sentais qu’émotionnellement, ça allait être compliqué pour moi.


C'était clairement une forme d'anticipation.


Ma routine des dernières heures de mes dimanches 100% anxiété.


Et le pire : c’est les longs week-ends avec jours fériés et ponts, où tu coupes complètement du travail en mode détente, et où la reprise est juste… horrible ! Cette boule au ventre avec laquelle je terminais mon week-end… 😔


Bref, pour une journée dite de "repos", c'était clairement pas une partie de plaisir.


Au début, je me disais que c’était passager. Que ça allait passer. Que j’étais juste un peu plus sensible. Que c'était un peu plus intense au travail en ce moment. Ou que j’étais dans ma période irritable (♀️🩸 ce sujet qu’on a encore du mal à évoquer et qui est pourtant un sacré facteur émotionnel !).


Mais au fond aujourd’hui, je sais que si j’étais si mal le dimanche, c’est parce que je prenais clairement sur moi toute la semaine…


👉 Ils ressemblent à quoi vos dimanches soirs ?



Ce que je refusais de voir (et ce que cette déprime du dimanche soir disait de moi)


Une paire de lunettes de vue posée sur un livre ouvert dans une ambiance plutôt sombre.

Ce qui est fou, c’est que pendant tout ce temps, j’avais l’impression que ce que je vivais était normal.


Qu’on vivait tous ça. 🤷‍♀️


Que personne n’aime le dimanche, ni le boulot car par définition, c’est pénible. Que c'était normal d'attendre le vendredi avec euphorie et de sombrer dans la déprime le dimanche soir.


Et si c'est vrai pour beaucoup, ce blues des dimanches soirs n’est clairement pas anodin.


Moi, j’étais en train d’étouffer dans une réalité qui ne me correspondait plus. 😣


Ce blues était là pour me dire que je n'étais plus alignée avec mon travail. Que je ne me sentais plus à ma place. Entre ennui, manque de sens, remise en question existentielle...je n'avais plus envie d'y aller.


Et clairement, même plus la force d'y aller à la fin.


Je me sentais à l’étroit, coincée, entre l’obligation de me lever pour aller travailler et mon envie très forte de tout envoyer valser ! Coincée entre mes envies et besoins et ce qui était attendu de moi.


Je sentais que j’avais besoin de plus de liberté. J’avais besoin de changer. Mais…je continuais à y aller en prenant sur moi.


Jusqu’au jour où j’ai décidé que ça serait plus "confortable" de partir que de rester. Et je me suis concentrée sur les causes et les raisons de mon mal-être (avant même de chercher des solutions).


Car toutes ces "petites" tensions sont en réalité des symptômes. Des alertes que notre corps et notre tête nous envoient. Un effondrement discret mais constant. Et parfois même, ces symptômes peuvent être les premiers signes de troubles plus profonds, comme le burn-out ou la dépression.


⚠️ Et si en lisant ces lignes, vous vous rendez compte que ce que vous ressentez va peut-être au-delà d'un "simple" ras-le-bol du boulot, alors ne passez pas à côté. Même si en France ce n'est pas encore un réflexe de prendre soin de sa santé mentale (mais on y vient 🧡), c'est pourtant essentiel. Et vous n'avez pas à porter ça tout seul, ni rester seul face à vous-même. Votre premier allié, c'est votre médecin traitant qui pourra faire le point avec vous et vous orienter si besoin (psychologue, psychiatre...). Demander de l'aide, c'est un sacré acte courageux !


👉 Peut-être que mon ancienne situation est similaire à ce que vous vivez aujourd’hui ?


Et attention, ce syndrome du dimanche soir ne veut pas toujours dire qu'il faut tout envoyer valser !



Quand le blues ne dit pas pareil de tout le monde


Ce fameux blues du dimanche soir, je ne suis pas la seule à l'avoir ressenti mais une étude récente vient mettre de la nuance sur ce phénomène.


Cette étude menée par l'Université d'Exeter a révélé qu'il touche aussi des employés qui aiment leur job.


La principale cause : le manque de séparation entre vie privée et vie professionnelle et donc des difficultés à déconnecter le week-end. Les frontières sont devenues floues voire même inexistantes (depuis le Covid notamment) : mails et appels le week-end, to-do list à rallonge, pression que l'on nous met (et que l'on se met aussi)... Tout cette surcharge mentale entame notre moral, même si on apprécie ce que l'on fait.


Dans mon cas, vous l'avez compris, c'était plus profond que ça.


Ce n'est pas en appliquant quelques astuces de productivité que j'allais en sortir.


D'où l'importance de s'attarder sur l'origine de notre mal-être pour mieux y répondre.


🤔 Vous êtes vous déjà demandé si vous aviez besoin de changer totalement de boulot ou juste d'entreprise ? Si vous avez du mal à répondre à cette question, j'ai décortiqué ça ici : Comment savoir si je dois me reconvertir ? Le déclic n’existe pas !


Ce stress du dimanche soir, comme une invitation à se remettre, nous en tant qu'individu, au centre


Oui je crois (et ce n'est que mon avis) que des fois, ce n'est pas juste une question d'équilibre ou de gestion du temps.


Ca peut même être dangereux de normaliser ces situations d'épuisement psychique. ❌


Non, ce sentiment de malaise au travail n’est pas ce qu’on est censé vivre et ressentir quand on pense à ses journées.


Quand on (coucou la société 👋) normalise tout ça, on enfouit toutes ces émotions, ces ressentis qu’on vit dans ces moments-là. On rend normales ces périodes de saturation émotionnelle, de découragement, de fatigue mentale et de profonde tristesse.


Mais là, on se coupe d'un élément essentiel : notre bien-être.


On nous demande de sacrifier notre bien-être au profil de la productivité, de la rentabilité, de l’économie...


Et en plus on nous fait culpabiliser car on a fait ce qu'il fallait (études, CDI, statut social, bon poste...) et qu'on est censés être heureux maintenant.


Des fois, le problème n'est pas à voir à l'échelle individuelle, ni même à l'échelle de l'entreprise mais c'est le système entier qu’il faudrait questionner.


C’est important oui l’économie, mais pas au détriment de l’humain, ni du vivant.


☝️Alors, non : ce n’est pas normal d’avoir un nœud à l'estomac chaque dimanche soir.


Ce n’est pas non plus normal de se sentir piégé(e) dans un quotidien qui coche toutes les cases de la réussite pour les autres, mais qui ne vous fait plus vibrer.


Le mal-être nous invite à repenser notre rapport au travail, au temps, à la réussite et même à la place de l'humain dans la société.


C’est tout.



Ce que j’ai changé pour en finir avec mon syndrome du dimanche soir (et à quoi ressemblent mes dimanches aujourd’hui)


Depuis, j’en ai fait du chemin 🙈


Et clairement, en me repenchant aujourd’hui, sur ce syndrome, je trouve ça fou car je ne vois plus du tout les choses de la même façon.


Je n’ai plus jamais eu cette angoisse en fin de week-end. Mes dimanches soirs sont maintenant neutres (certains sont même joyeux car j'ai hâte d'attaquer ma semaine 🤗).


Ça c’est un fait. Et je suis tellement fière et reconnaissante pour ça 🧡


✋ Je me suis écoutée, genre vraiment (et peut-être pour la première fois)


Un cahier ouvert et un stylo sur un lit qui ouvrent à la réflexion.

Je crois que ma toute première étape, c’était celle-là. Quand je la vois écrite, je la trouve simple. Et pourtant.


Pour discuter avec vous, je sais que c’est une sacrée étape.


C’est cet instant où on s'arrête et on prête (enfin) attention à tous les signes que nous envoie notre corps.


Ce moment où on accepte que notre bien-être a autant, voir même a plus, de valeur que notre travail.


Et je sais qu’on est nombreux à se penser hyper consciencieux. On aime le travail bien fait. On ne veut pas décevoir. Et on hésite très très très longuement à quitter notre poste.


On a aussi tendance à donner trop d’importance aux propos des autres : notre manager qui nous dit qu’on est un super bon élément ; notre collègue qui adore travailler avec nous ; nos proches qui nous disent qu’on a un bon poste…


Et nous dans tout ça ?


On ne nous a jamais appris à écouter nos signaux d’alerte. Plutôt appris à les taire : ça ira, ça va passer, tu ne vas pas t’arrêter pour ça, allez sois forte…


Sauf que ce blues n’est pas là pour rien.


Ni cette colère, ni cette frustration, ni cette tristesse et cette baisse de moral…


Moi, ça m'a mis un coup quand j'ai compris que ce n'était pas qu'une période morose et triste que je vivais en fin de semaine, mais que clairement je m'éteignais peu à peu.


La santé, mentale comme physique, doit être une priorité.


👉 C’est quoi le message derrière tout ça ? Et si on prenait le temps de l’écouter vraiment ?


😨 Si vous vous sentez perdu(e), sans savoir si vous devez quitter votre travail ou non, j'ai écrit un article sous forme d'autocoaching ici : Quand changer de travail : les 32 questions essentielles pour savoir si c’est le moment !

🔎 J’ai repensé ma vie professionnelle en profondeur (au-delà du métier en lui-même)


Je me suis reconvertie. J'ai décidé de quitter mon boulot au plus vite, sans même savoir ce que j'allais faire derrière. C'était comme une sorte d'urgence. Il fallait que je le fasse.


Et je vois bien aujourd'hui que les choix que j’ai faits m’ont permis de décider en conscience :

  • De mon environnement de travail (je travaille de la maison avec une certaine flexibilité car je pourrais travailler de partout finalement, et ça me convient totalement comme ça),

  • De mon rythme et mes heures de travail (dans les limites de mon quotidien actuel avec une petite fille de 2 ans et les horaires de nounou, mais ça me va 😊),

  • Des gens avec qui je travaille (c’est un parti pris, mais j’adapte ma communication et mon marketing pour celles et ceux avec qui j’ai clairement envie de travailler pour être au quotidien avec des gens bienveillants qui partagent mes valeurs et c’est pareil avec les gens avec qui je collabore, ils sont choisis),

  • De mes tâches en fonction de mes points forts et de mes aspirations pour ne plus m’ennuyer…


Ça m’a demandé pas mal d’honnêteté de me lancer dans ma reconversion professionnelle mais il y a clairement un avant et un après.


Et puis cette reconversion a été le point de départ car finalement, pas mal d'éléments se sont alignés derrière : on a trouvé une maison qui nous ressemble, notre fille est arrivée… On a fait de la place pour ce qui compte vraiment.


Bien sûr aujourd’hui encore, même si j’adore mon travail, il y a des jours où je serais mieux à ne rien faire qu’à travailler 😅 Mais blague à part, la grosse différence, c’est que je n’ai plus la sensation de fuir mon existence. Je n’ai plus ce nœud à l'estomac le dimanche soir. Je sens que j’ai remis du sens et que j’ai repris les commandes. Et ça, ça change beaucoup pour moi 😊


Vous sentez que vous voulez faire autre chose qui vous corresponde plus, mais vous n'avez aucune idée de quoi faire comme métier ? J'ai creusé le sujet par ici : Quel métier faire quand on n’aime rien : mes 6 meilleurs conseils

🎢 J’ai traversé pas mal de doutes (et d’envie de lâcher mon projet, bien trop tôt !)


Vous pourriez croire que c’est encore une autre histoire de réussite bien lisse…


Pas du tout 🙈


Je suis passée par des phases bien difficiles où j’ai broyé du noir, vraiment, en me demandant pour la 1000ème fois « mais quel métier pourrait me convenir ?! ». En me demandant si finalement, je n’allais pas devoir repartir à la case départ en mode « gros échec », la honte.


Il y a aussi ces situations supers désagréables où on te questionne sur « alors tu vas faire quoi ? Ah tu ne sais toujours pas…. 😮 »... LA question qui me rendait folle et qui venait bien appuyer sur mon incertitude et mes doutes du moment. Bien culpabilisant !!


Ensuite, quand tu sens que tu avances, que tu penses avoir trouvé un chemin intéressant… des peurs jamais vues arrivent encore 👉 Qui suis-je pour me lancer dans cette carrière audacieuse ? Comment je vais bien pouvoir trouver des clients ? Comment me démarquer alors que le marché est saturé ? Comment traverser les mois sans revenu quand on est à son compte ? Comment être rentable ? ...


Et enfin, quand tu parviens à « vivre de ton activité » 🏆… Et bien, il y a des mois sans client, sans chiffre d’affaires. Il y a des mois où je ne me suis pas payée. Il y a des moments où on se demande si on ne devrait pas tout arrêter et repartir en CDI comme tout le monde. Pour ne plus se prendre la tête, pour ne plus avoir de pression et de stress...


Et puis, il y a aussi tous les autres moments 🧡 : la fierté d’avoir osé changer de vie, le plaisir de coacher mes clients pour les faire avancer, ces mois où je gagne plus que quand j’étais salariée, la joie de voir mes clients changer de travail, cette chance de pouvoir prendre le temps de travailler comme je le veux, d’aller chercher ma fille plus tôt pour aller goûter au parc, cette montée d’adrénaline à chaque nouveau client qui signe avec moi, , le plaisir de travailler sur moi (indispensable dans mon métier et j’adore ça, ça tombe bien 😊), ces messages réconfortants qui me disent que mes partages sur les réseaux ou ici aident beaucoup, le plaisir de faire plein de formations (passion apprentissage !), vos retours qui me disent envier mon métier car tellement utile aux autres…


Je sais pourquoi je me lève le matin. Je suis tellement reconnaissante pour tout ça. Et tellement fière de « la moi d’avant », celle qui a osé dire stop malgré tous les doutes ! 🤗


♻️ Je n’ai pas juste changé de métier, j’ai changé de posture


Alors qu’avant je pensais que le plus important, c’était de « trouver » sa voie. Comme si mon « métier idéal » m’attendait quelque part, caché derrière une porte mystère !


Aujourd’hui j’ai compris qu’on peut la construire sa voie, une décision après l’autre. Que la reconversion, c’est la partie émergée de l’iceberg. Et que la partie immergée, c’est tout ce qu’on a besoin d’apprendre sur soi. Et c'est d'ailleurs ce que je transmets à mes clients en coaching.


J’ai compris que changer de vie, ce n’est pas que changer de métier. C’est aussi changer de posture.


Changer de regard sur soi.


Assumer ses choix et ses désirs. Même s’ils ne sont pas réalistes ou rentables à première vue 🙈


Et ses non-choix. Faits par facilité ou par peur. Ou par fatigue. Ou automatisme. Car un non-choix est un choix quand même.


Arrêter de chercher la validation extérieure. Même si elle est quand même bien rassurante.


Je ne remets plus en doute ce que je ressens. Ce que je veux, c’est légitime. Point.


Et si je me suis lancée dans ma reconversion, ce n’était pas juste pour « faire autre chose ». C’était pour ne plus avoir la sensation de passer à côté de ma vie, et à côté de moi.


Et c’est peut-être ça, le vrai apprentissage pour dire au revoir au blues du dimanche soir : ce n’est pas d’avoir le bon job. Mais le fait d’avoir un quotidien que j’ai vraiment choisi. Même si il n’est pas parfait. Mais il est bien meilleur. C'est celui que j'ai choisi. Je me sens à ma place. Et ça, c’est une sacrée fierté 😊


👉 Et vous alors, est-ce que vous vous êtes déjà posé cette question si importante : « A quoi ils ressembleraient vos dimanches soirs, honnêtement, si vos semaines étaient alignées avec la personne que vous êtes vraiment ? »



Vous êtes arrivé dans cet article avec votre syndrome du dimanche soir sous le bras, vous savez maintenant que vous êtes loin d’être un cas isolé. 🧡


Au-delà de ce soulagement (qui fait déjà beaucoup de bien), ces réflexions que vous êtes en train de mener en disent beaucoup sur la personne que vous êtes et votre envie de changer les choses pour avancer vers du mieux.


Et puis au fond, vous le savez déjà, si vous avez lu jusqu’ici ce n’est sûrement pas un hasard. Peut-être que vous aussi, vous arrivez au moment de dire stop à ce fameux blues ! 💪


Envie de faire un premier pas vers une nouvelle direction professionnelle pour dire au revoir à la boule au ventre du dimanche soir ? Téléchargez ici un cahier d’introspection pour trouver le Pourquoi de votre réorientation professionnelle. C’est gratuit et je l’ai fait pour vous 😉

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